5 octobre 2004 - CRINMAIL 26
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- COMITE DES DROITS DE L'ENFANT: Journée de débat général [rapport]
- COMITE DES DROITS DE L'ENFANT: Prochaines élections [proposition de candidats]
- SOUDAN: Mission d'Amnesty International dans le Darfour [nouvelle]
- HAITI: Aide encore insuffisante [nouvelle]
- VIH/SIDA: L'Afrique malade [publication]
- SERVICES DE GARDE: Un enjeu pour le 21ème siècle [événement]
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COMITE DES DROITS DE L'ENFANT: Journée de débat général [rapport]
[GENEVE, 17 septembre 2004] - Le Comité des droits de l'enfant a tenu, le 17 septembre, une journée de discussion générale sur le thème de "la mise en oeuvre des droits de l'enfant dans la petite enfance". Le débat était axé sur les questions de la protection et de la participation de la petite enfance. La nécessité d'adopter une approche globale des questions en jeu a maintes fois été soulignée durant le débat.
Après avoir entendu des déclarations liminaires de représentants du Haut Commissariat aux droits de l'homme, du Fonds des Nations Unies pour l'enfance, de l'Organisation mondiale de la santé et de la Fondation Bernard van Leer, le Comité s'est séparé en deux groupes de travail distincts traitant, l'un, de la nécessité d'appliquer les bonnes pratiques le plus tôt possible, en particulier en matière de survie et de développement de l'enfant, et, l'autre, des jeunes enfants en tant qu'acteurs à part entière de leur propre développement.
Rendant compte, en fin de journée, des travaux du premier de ces deux groupes de travail, dont il était rapporteur, M. Lothar Friedrich Krappmann, membre du Comité, a indiqué qu'au cours des débats, il a été souligné que les politiques doivent se concentrer non seulement sur la reconnaissance des besoins mais aussi sur la reconnaissance du fait que les jeunes enfants sont des détenteurs de droits. Des campagnes devraient être mises en place pour sensibiliser aux questions relatives à la petite enfance. Le droit à la vie et à avoir des relations stables avec les parents dès le début de la vie, le droit de recevoir des soins, le droit à l'allaitement maternel, constituent quelques-uns des droits dont il faut garantir le respect.
Rendant compte pour sa part des travaux du second groupe de travail, M. Luigi Citarella, membre du Comité et rapporteur de ce groupe, a indiqué qu'un consensus semble s'être dégagé au cours de la discussion s'agissant de certains éléments qui seraient nécessaires pour assurer un développement adéquat de la petite enfance, au nombre desquels on peut citer la nécessité de changer les attitudes culturelles et traditionnelles des familles; la nécessité de reconnaître et de respecter pleinement les droits de l'enfant; la nécessité d'assurer la participation des enfants dans la famille ainsi qu'en ce qui concerne l'éducation et la santé.
Se fondant sur les résultats de cette journée de discussion, le Comité a adopté des recommandations sur la mise en oeuvre des droits de l'enfant dans la petite enfance qui ont été rendues publiques le vendredi 1er octobre.
Pour plus d'informations, visiter: www.unog.ch/news2/documents/newsfr/crc04030f.htm
Les recommandations seront disponibles en français dans les prochains mois sur le site français du Haut-Commissariat des Nations Unies aux droits de l'homme: www.ohchr.org/french/bodies/crc
Pour lire les documents soumis par les ONG et la société civile pour la Journée de débat général, visiter: www.crin.org/docs/resources/treaties/crc.37/Discussion.asp
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COMITE DES DROITS DE L'ENFANT: Prochaines élections [proposition de candidats]
Le 28 février prochain, neuf membres du Comité des droits de l'enfant arriveront au terme de leurs contrats. Des élections auront donc lieu lors d'une réunion des Etats-Membres aux Nations-Unies à New York, en février 2005.
Les nominations de candidats doivent être déposées au Bureau du Haut Commissaire avant la fin du mois de novembre, et le Haut Commissariat des Nations Unies aux droits de l'homme voudrait rappeler aux ONGs le rôle qu'elles se doivent de jouer en ce qui concerne le choix de leurs candidats nationaux.
Le mois dernier, les pays signataires de la Convention relative aux droits de l'enfant ont dû reçevoir une lettre du Haut Commissariat des Nations Unies aux droits de l'homme au nom du Secrétaire Général des Nations Unies leur demandant de proposer un candidat pour le Comité.
Chaque Etat Partie a le droit de nominer un ressortissant national. Un formulaire d'informations biographiques du candidat doit être complété par l'Etat Partie et soumis au Bureau du Haut Commissaire accompagné de la nomination.
Une réunion des Etats Parties aura lieu en février 2005 dans le but d'élire les neuf nouveaux membres du Comité. Ceux-ci sont élus pour quatre ans et sont autorisés à se re-présenter un nombre de fois illimité. Ils sont priés d'assister à trois sessions annuelles de quatre semaines chacune (douze semaines par an) pendant les mois de septembre, janvier et mai, à Genève, en Suisse.
Bien que les ONG ne soient pas autorisées à nominer des candidats, elles peuvent jouer un rôle important en faisant pression sur leur gouvernement pour qu'ils choisissent un candidat qui possède les bons critères.
Les ONG peuvent identifier elles-mêmes des candidats qualifiés dans leurs pays, et contacter le candidat potentiel pour s'assurer qu'il/elle soit prêt(e) à accepter le poste. Les ONG devraient obtenir le soutien du candidat nominé par les représentants du gouvernment travaillant dans le secteur des enfants, ou le ministère responsable du suivi de l'application de la Convention relative aux droits de l'enfant.
Les ONG devraient adresser une lettre à leur ministère des affaires étrangères expliquant clairement les raisons de leur choix de candidat, car c'est ce ministère qui est souvent responsable de nominer des candidats. Il est importent d'encourager les gouverments à nominer des candidats en fonction de leur mérite, plutôt que pour des raisons politiques. Les ONG devraient collaborer de près avec l'UNICEF qui a souvent des possibilités d'attirer l'attention de personnes de haut prestige.
Il est important de préciser que tout candidat proposé doit avoir le soutien du gouvernement car la pression exercée par un gouvernment garantit généralement l'élection du (de la) candidat(e). Il est donc essentiel que les ONG exercent pression sur leur gouvernement afin que tout candidat possède les critères recommandés.
Pour plus de renseignements, contacter:
Laura Theytaz-Bergman
CRC/NGO Liaison Officer
Groupe des ONG pour le Convention relative aux droits de l'enfant
1 rue de Varembé, 1202 Genève, Suisse
Tel: + 41 22 740 4730; Fax: + 41 22 7401145
E-mail: [email protected]
Site internet: http://www.crin.org/NGOGroupforCRC/
Pour lire le communiqué de presse paru en août, visiter: www.domeus.fr/message/read.jsp;jsessionid=195EE6B9B0CEBEC1FB377935CD1DE99D;dom04?scroll=true&mid=28750485
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SOUDAN: Mission d'Amnesty International dans le Darfour [nouvelle]
[LONDRES, 21 septembre 2004] - Détresse, démission et déception sont les trois termes qui peuvent qualifier la situation dans le Darfour à l'heure actuelle. Détresse de tous ceux et de toutes celles dont la vie et les moyens mêmes d'existence ont été détruits; démission du gouvernement soudanais qui nie toute responsabilité; et déception devant la lenteur du processus censé résoudre la crise. Telles sont les conclusions d'Amnesty International à l'issue de sa visite sur place. C'était la première fois depuis le début de la crise dans le Darfour qu'une organisation non gouvernementale internationale de défense des droits humains se rendait au Soudan et rencontrait de hauts responsables du gouvernement.
Contrairement à ce qui se passe habituellement en pareil cas, la délégation d'Amnesty International a pu se déplacer librement dans l'ensemble de la région du Darfour. Les délégués de l'organisation se sont rendus à El Geneina, à Nyala et à El Fasher, et ont pu rencontrer plusieurs ministres et hauts responsables du gouvernement, à Khartoum et dans le Darfour. Ils ont également pu s'entretenir avec des représentants d'organisations internationales et de la société civile.
Cette visite a confirmé la première analyse d'Amnesty International, à savoir que les villages de la région étaient attaqués par des milices soutenues par le gouvernement et parfois même appuyées par les forces régulières soudanaises, qui tuaient les civils, se livraient à des pillages
et incendiaient les habitations.
La délégation a pu voir les restes de plusieurs villages totalement rasés ou abandonnés, et qui avaient presque disparu sous la végétation. Elle a pu constater que des nomades faisaient pâturer leurs chameaux, leurs chèvres et leurs vaches sur des terres où étaient naguère installées des communautés d'agriculteurs.
Les délégués d'Amnesty International ont recueilli les témoignages de personnes déplacées réfugiées dans des camps et des villages de l'ouest du Darfour et à Nyala, dans le sud de la région, qui leur ont décrit de nombreuses atrocités. Deux femmes leur ont par exemple raconté que leur village, situé près de Nuri, dans l'ouest du Darfour, avait été attaqué en février 2004 par des miliciens armés et bombardé, et que cette attaque avait fait environ 130 morts. L'une de ces deux femmes a indiqué que les hommes du village avaient été tués en si grand nombre que les femmes avai ent dû se charger seules d'enterrer les morts. Elle disait avoir elle-même enterré sept hommes, en compagnie d'une voisine. Le soir, les femmes du village avaient placé les cadavres qu'elles n'avaient pas eu le temps d'inhumer dans un abri, mais les miliciens, connus sous le nom de Janjawid, étaient revenus pendant la nuit et avaient brûlé ce dernier, avec les corps qu'il contenait.
"Si certains membres du gouvernement ont admis que des violations des droits humains et des atteintes au droit international humanitaire avaient été commises, d'autres ont nié en bloc tous les faits", a déclaré Irene Khan, secrétaire générale d'Amnesty International. "Un tel déni est une insulte aux victimes."
"Les déplacements de population se poursuivent, a déclaré Bill Schulz, directeur général d'Amnesty International États-Unis et membre de la délégation, commentant l'arrivée récente de 3000 personnes dans le camp de Kalma. "Les habitants de la région continuent d'être chassés de chez eux par les combats et par des attaques délibérées menées contre leurs villages."
Les délégués d'Amnesty International ont rendu visite à des personnes déplacées appartenant à des tribus nomades, aujourd'hui regroupées au camp de Musai, près de Nyala. Là, ils ont recueilli des témoignages identiques, faisant état de meurtres et de viols commis par les insurgés. Amnesty International condamne fermement toutes les atteintes au droit international humanitaire perpétrées par des groupes politiques armés.
[Source: Amnesty International. Pour lire la totalité du communiqué, visiter: http://web.amnesty.org/library/Index/FRAAFR541272004?open&of=FRA-SDN]
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HAÏTI: Aide encore insuffisante [nouvelle]
[PARIS, 28 septembre 2004] - Aux Gonaïves, troisième ville du pays, ravagée par les eaux, on redoute les épidémies. Plus d'une semaine après le passage de la tempête tropicale Jeanne sur le nord d'Haïti, Kettly Julien, responsable d'une organisation humanitaire locale qui travaille sur Les Gonaïves, dresse un tableau désespéré de la situation dans la troisième ville du pays, la plus touchée, de loin, par les inondations. "Dans bien des zones un peu éloignées du centre, où les secours ont du mal à parvenir, il y a des gens qui vivent encore dans les arbres... Les cadavres s'accumulent encore en dehors des bilans officiels, les maisons ne sont plus que des débris, il n'y a pas d'eau potable, les cadavres d'animaux flottent, les enfants commencent à avoir des diarrhées, on craint des débuts d'épidémies, le choléra, la malaria..."
Un bilan officiel de la protection civile haïtienne le 27 septembre faisait état de 1330 morts, 1056 disparus, 3000 blessés et 300 000 sans-abri. "Je ne pense pas qu'il y ait encore l'espoir de retrouver vivant les disparus", a précisé à l'agence de presse Haiti Press Network le porte-parole de la protection civile, Dieufort Delorge. Le maire des Gonaïves, Calixte Valentin, a confirmé sur des radios haïtiennes que tout bilan semblait impossible à établir : "Nous avons comptabilisé des données qui dépassent les chiffres de la protection civile. Nous découvrons des corps au fil des heures dans les décombres de maisons détruites, sous les amas de boue et sur le littoral où des cadavres sont rejetés par la mer."
La dépression tropicale Jeanne alors au simple stade de "tempête" avant de gonfler pour devenir cyclone et aller frapper la Floride a provoqué les 18 et 19 septembre moins de dégâts par ses vents que par les pluies qui l'ont accompagnée, dans un pays qui souffre de déforestation systématique. Les inondations ont détruit une bonne partie de cette ville de 250000 habitants. "Désormais, poursuit Kettly Julien, l'urgence absolue serait d'évacuer la ville, en tout cas plusieurs dizaines de milliers d'habitants, les mettre "au sec", loin des eaux stagnantes, des foyers possibles d'épidémies. Il faut trouver les terrains et il faut des tentes pour reloger les gens." Le Premier ministre haïtien a évoqué ce week-end cette possibilité d'évacuer la ville au moins partiellement : "Il faut la nettoyer et désinfecter les maisons pour diminuer les risques d'épidémies."
Massive, l'aide d'urgence internationale reste encore insuffisante vu l'ampleur des dégâts. La France a notamment envoyé samedi un Airbus affrété par le ministère des Affaires étrangères emportant 40 tonnes de dons d'une demi-douzaine d'ONG. "Une aide d'urgence constituée de stations de potabilisation de l'eau, de réservoirs, kits cuisine, tentes, rations alimentaires et de kits médicaux", selon le porte-parole du ministère. Deux avions cargos de la Croix-Rouge française sont également arrivés à Port-au-Prince, l'aéroport des Gonaïves restant inutilisable. Tour à tour, le Chili, le Brésil, l'Espagne et d'autres se sont mobilisés.
Selon les ONG présentes sur place, la tension ne cesse cependant d'augmenter dans la ville. Les habitants se plaignent de la mauvaise répartition de l'aide qui n'atteindrait que les mêmes quartiers. Et les conditions de sécurité seraient de moins en moins sûres. Un convoi d'aide humanitaire a été attaqué en plein centre-ville par plusieurs dizaines de jeunes Haïtiens armés de barres de fer, malgré la présence de soldats de la mission de stabilisation (Minustah), les Casques bleus de l'ONU présents depuis la chute du président Aristide en février. Les jeunes gens ont tenté de dévaliser deux camions d'aide humanitaire avant d'être dispersés par des gaz lacrymogènes.
[Source, Libération, AFP et Reuters: http://www.liberation.fr/page.php?Article=241786&AG]
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VIH/SIDA: L'Afrique malade [publication]
Après plus de deux décennies de lutte contre ce fléau, l'Afrique continue de payer un lourd tribut. En Afrique 15 millions de personnes sont mortes du Sida depuis le début de l'épidémie; 25 à 28,2 millions d'africains vivent aujourd'hui avec le VIH; plus de la moitié sont des femmes et 70% d'entre elles ont entre 15 et 25 ans.
Les femmes sont les plus exposées; elles sont 3 à 5 fois plus susceptibles que les hommes de contracter le VIH au cours d'un seul rapport sexuel non protégé. Les jeunes filles représentent désormais les 2/3 des moins de 24 ans vivant avec le SIDA. Ces chiffres sont très alarmants. A ce rythme, les femmes constitueront bientôt la majorité des personnes infectées dans le monde. Quant aux enfants africains 1,7 millions d'entre eux sont séropositifs.
En Afrique subsaharienne, le Sida a fait périr les parents de 12 millions d'enfants. La prise en charge de ces orphelins est un problème crucial. Dans certains pays africains, les orphelins se retrouvent entraînés vers le commerce du sexe. Vivant dans une très grande pauvreté sans possibilité de scolarisation, ils se retrouvent souvent dans les réseaux de prostitution ou de travaux forcés. Les institutions des différents pays doivent prendre des mesures pour protéger ces orphelins qui sont exposés à beaucoup de facteurs.
Enda-Mali vient de publier le nouveau numéro de son bulletin d'information sur le VIH/SIDA: Liaison VIH/SIDA. Ce numéro 7 contient des informations sur:
- le Programme Multisectoriel de Lutte contre le VIH/SIDA (MAP). Programme mis en place par la banque mondiale et qui existe depuis 2001, le MAP est un moyen de financement de la politique nationale de lutte contre le VIH/SIDA.
- le groupe de parole des orphelins, enfants infectés et affectés par le VIH/SIDA. Ce groupe est né de la nécessité d'informer et de soutenir psychologiquement les orphelins et enfants infectés et affectés par le VIH/SIDA, en les délivrant de la peur et en renforçant leur capacité d'autonomisation.
- la mise au point d'un vaccin contre le Sida: l'OMS dénonce le manque d'engagement. Les problèmes posés par le développement d'un vaccin contre le VIH, attendu probablement
d'ici à dix ans, "sont principalement d'ordre scientifique et économique, du fait en particulier que le secteur privé n'est guère incité à s'engager dans la mise au point de ce type de produit".
- l'agenda d'événements concernant le thème VIH/SIDA.
Pour plus d'informations, contacter:
Enda Mali, BP 3123, Bamako, Mali
Tel: + (223) 222 55 64; Fax: + (223) 223 25 93
Email: [email protected]
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SERVICES DE GARDE: Un enjeu pour le 21ème siècle [événement]
Le Conseil canadien de développement social (CCDS) est l'hôte de la conférence "Des services de garde pour tous! Un enjeu pour le 21ème siècle", une conférence nationale sur les politiques et les priorités des services de garde au Canada, qui aura lieu à Winnipeg du 12 au 14 novembre 2004.
On ne pouvait choisir un moment plus propice. Il n'y a pas eu de conférence de cette envergure sur la politique des services de garde depuis plus de 20 ans. La promesse faite par le Premier ministre le soir des élections a créé l'occasion idéale d'influencer cette question cruciale pour les Canadiennes et les Canadiens.
Le services de garde et éducatifs représentent une force sociale et économique touchant à de nombreuses questions connexes, telles le développement de l'enfant, l'économie, l'égalité des femmes, les stratégies du marché du travail, la pauvreté, l'urbanisme et la justice sociale. Les décisions qui seront prises au Canada au cours de l'année en matière de services de garde et éducatifs seront cruciales.
Cette conférence promet trois jours de discussion et de débat sur l'ébauche des politiques de services de garde pour l'avenir proche. Nous avons réuni un groupe de conférenciers et de dirigeants d'ateliers qui sont à l'avant-garde de la politique sociale, entre autres Stephen Lewis, envoyé spécial de l'ONU, et Pauline Marois, porte-parole de l'opposition officielle au Québec en matière d'éducation. Le Forum public sur les services de garde du dimanche matin promet un dialogue animé et dynamique. On espère que les idées suscitées au cours de cette conférence influenceront la politique publique et aideront à établir le plan d'action pour la prochaine décennie.
Pour plus d'information, contacter:
Golden Planners Inc.
Suite 301, 126, rue York, Ottawa, Ontario K1N 5T5, Canada
Tél: + 1 613 241 9333; Fax: + 1 613 565 2173
Email: [email protected]
Vistez: www.crin.org/resources/infoDetail.asp?ID=4587
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