À la une : ECOSOC | Secrétaire général de l'ONU
L'ONU représente le meilleur espoir de voir les droits de l'homme respectés à travers le monde. Mais la possibilité que l'ONU rende des comptes, et la confiance dans l'institution doivent être garantis si nous voulons que l'ONU puisse remplir sa mission. Des processus de nominations aux justifications pour limiter l'accès à l'ONU des ONG, en passant par les procédures de gestion des accusation d'abus, trop de décisions de l'ONU restent entourées de secret.
La campagne de CRIN pour la transparence fait pression pour que des réformes soient adoptées dans trois domaines, afin que l'ONU devienne l'organisation qu'elle devrait être :
En premier lieu, nous appelons à des procédures de nomination ouvertes et transparentes pour tous les postes hauts-placés dans le domaine des droits de l'enfant. Il s'agit d'identifier des responsables qui possèdent l'engagement, les compétences et l'expérience nécessaires à un travail efficace pour les droits des enfants.
Ensuite nous observons la transparence des structures qui permettent aux défenseurs des droits des enfants de dénoncer les abus. Cela inclut des organisations telles que le Comité des ONG de l'ECOSOC (Conseil économique et social de l'ONU), qui a le pouvoir d'autoriser ou de bloquer la participation des ONG dans le système onusien, ainsi que les organisations nationales tels que les bureaux des ombudspersons.
Enfin, en exposant le manque de transparence de l'ONU dans la gestion des affaires d'abus sexuels contre des enfants, comme récemment en République centrafricaine.
Dans les pages suivantes, pour trouverez plus d'informations sur les individus et les organisations qui ont le pouvoir de déterminer dans quelle mesure les droits de l'enfant sont ou non respectés, et lire l'historique et les derniers développements des révélations sur les abus sexuels.