CRINMAIL 41

2 décembre 2005 CRINMAIL 41

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- JOURNEE MONDIALE CONTRE LE SIDA: Nécessité d'améliorer les services aux femmes enceintes séropositives [nouvelle]

- VIOLENCE CONTRE LES FEMMES: 16 Jours d'activisme [campagne internationale]

- NIGER: Une seconde crise alimentaire pourrait survenir en 2006 [nouvelle]

- OUGANDA: La peur d'être enlevés des enfants "migrants de la nuit" [nouvelle]

- EXPLOITATION SEXUELLE: Violence contre les enfants dans le cyberespace [rapport]

- GUINEE: Etude sur le trafic et le travail domestique des enfants [rapport]

- COMITE DES DROITS DE L'ENFANT: Journées de débat général [nouvelle]

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Vos contributions seront les bienvenues si vous travaillez dans le domaine des droits de l'enfant. Pour nous les faire parvenir, envoyez un e-mail à [email protected]

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JOURNEE MONDIALE CONTRE LE SIDA: Nécessité d'améliorer les services aux femmes enceintes séropositives [nouvelle]

[PARIS, 1er décembre 2005] - Plus de 600 000 enfants sont infectés chaque année par le VIH, dont 90 pour cent parce qu'ils naissent de mères séropositives. A l'occasion de la Journée mondiale de lutte contre le SIDA, l'UNICEF et l'Organisation Mondiale pour la Santé (OMS) convoquent un forum afin de planifier l'avenir dans les pays les plus durement touchés.

Le nombre d'enfants qui chaque année sont infectés par le VIH pourrait diminuer de moitié si les femmes enceintes vivant avec ce virus bénéficiaient d'un ensemble de services comprenant des antirétroviraux. Mais moins de 10 pour cent de ces femmes reçoivent les soins dont elles ont besoin.

Pour la Journée mondiale de lutte contre le SIDA, l'UNICEF, l'OMS et d'autres partenaires demandent un meilleur accès aux services de prévention pour les femmes enceintes vivant avec le VIH. "Chaque année, des centaines de milliers d'enfants naissent infectés alors qu'il aurait pu en être autrement et beaucoup d'entre eux meurent avant leur premier anniversaire", a dit la Directrice générale de l'UNICEF Ann M. Veneman. "Pourtant, il existe des interventions efficaces. Nous pouvons réduire de façon spectaculaire le nombre d'enfants infectés par le VIH si l'on fournit ces services aux mères."

Le Forum mondial de haut niveau des partenaires se tiendra à Abuja au Nigeria et réunira 140 experts appartenant à des organisations internationales et des délégations de 27 pays pour des échanges sur les pratiques optimales en la matière et pour définir les actions à prendre pour accélérer et améliorer la couverture dans les pays qui en ont le plus besoin.

Les plus grands obstacles à un élargissement des services pour empêcher la transmission du virus de la mère à l'enfant dans les pays pauvres sont un système de santé insuffisant et une pénurie de professionnels de la santé et de fournitures médicales. De plus, les communautés n'ont pas été suffisamment mobilisées dans la mise en oeuvre de ces programmes.

Améliorer l'accès aux programmes de prévention de la transmission du virus de la mère à l'enfant représente l'un des quatre piliers de "Unissons-nous pour les enfants, contre le SIDA", la campagne lancée par l'UNICEF, ONUSIDA et d'autres partenaires le 25 octobre avec l'espoir ultime de voir un jour une génération libérée du SIDA. En ce qui concerne les trois autres piliers (prévention primaire, traitements pédiatriques et protection des enfants affectés par le VIH/SIDA), les progrès accomplis seront également cruciaux pour faire reculer la maladie.

[Source: UNICEF France]

Informations sur la campagne "Unissons-nous pour les enfants, contre le SIDA" 

Lire le rapport "Enfants: la face cachée du sida

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VIOLENCE CONTRE LES FEMMES: 16 Jours d'activisme [campagne internationale]

Dates: 25 Novembre - 10 Decembre

Les 16 Jours d'activisme contre la violence faite aux femmes est un événement annuel depuis 1991, organisé par le Women's Global Leadership Institute (USA). Le 25 Novembre correspond à la Journée mondiale contre la violence faite aux femmes et le 10 Décembre à la Journée mondiale des droits de l'Homme. Le choix de ces dates rappelle que la violence à l'encontre des femmes est une violation des droits de l'Homme. Depuis 1991, environ 1700 organisations dans 130 pays ont participé à la campagne des 16 Jours.

La campagne est un outil stratégique utilisé par les activistes et les ONG du monde entier pour obtenir l'élimination de toutes les formes de violence à l'égard des femmes. Cette année, le thème santé de la Campagne de 16 jours, dans le prolongement de 2004, met l'accent sur les corrélations entre les droits fondamentaux des femmes, la violence à l'égard des femmes et la santé des femmes, ainsi que sur les conséquences préjudiciables de la violence faite aux femmes sur le bien-être du monde tout entier.

En 2005, le mouvement a remporté de nouvelles victoires. Lors de Beijing+10, tenue en mars, le Programme d'action de Beijing a été réaffirmé, sans équivoque, et le Secrétaire général des Nations Unies, Kofi Annan, a souligné l'importance vitale de la lutte contre la violence à l'égard des filles et des femmes si l'on veut réellement atteindre les Objectifs de développement du Millénaire. Les militantes aux quatre coins du monde se sont en outre employées à veiller à ce que les préoccupations sexospécifiques, y compris la violence à l'égard des femmes, figurent en première place dans le document final du Sommet mondial de 2005, qui a lieu en ce mois de septembre.

L'année prochaine, il y aura encore de nombreuses occasions pour continuer cet élan, notamment en ce qui concerne le lien entre la violence et la santé physique, sexuelle, génésique, psychique et sociale des femmes. Des recherches, dont les conclusions seront rendues publiques sous peu, notamment une étude de l'OMS dans plusieurs pays sur la santé des femmes et la violence au sein de la famille, et une étude approfondie du Secrétaire général de l'ONU sur la violence à l'égard des femmes, sollicitée par l'Assemblée générale de l'ONU, seront autant de nouveaux instruments pour le plaidoyer des militantes.

Les ONG sont également entrain de procéder à une analyse de ces liens. Ainsi, la Campagne des défenseurs des droits fondamentaux des femmes [Women Human Rights Defenders Campaign] accueillera, en décembre 2005, une consultation centrée sur les violations contre les femmes qui défendent les droits fondamentaux des femmes, dont beaucoup sont confrontées à la violence à cause de leurs efforts visant à la promotion des droits de la femme, en particulier des droits génésiques et sexuels.

Il demeure impératif de se pencher sur les corrélations entre la violence faite aux femmes et la pandémie du VIH/Sida. La violence limite la possibilité qu'ont les femmes de se protéger contre l'infection et peut compromettre leur accès à une série d'informations et de services de santé cruciaux, notamment le test et le traitement. Cette année, le thème de l'ONUSIDA pour la Campagne mondiale contre le Sida 2005 et au-delà est : "Stop Sida. Tenir les promesses". La campagne invite les Etats à respecter leurs engagements politiques relatifs au VIH/Sida. La Journée mondiale sur le Sida (célébrée durant les 16 Jours) est l'occasion pour rappeler aux gouvernements que s'ils veulent tenir leurs promesses relatives au VIH/Sida, il conviendrait aussi qu'ils honorent leurs engagements quant à la violence à l'égard des femmes.

Pour de plus amples renseignements, contacter:
Centre for Women's Global Leadership
Rutgers, The State University of New Jersey
160 Ryders Lane, New Brunswick, NJ 08901-8555 USA
Tel: + 1 732 932 8782; Fax: + 1 732 932 1180
Email: [email protected]
Website: http://www.cwgl.rutgers.edu

Comment participer à la campagne? 

Déclaration sur l'élimination de la violence à l'égard des femmes

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NIGER: Une seconde crise alimentaire pourrait survenir en 2006 [nouvelle]

[PARIS, 30 novembre 2005] - A défaut d'un engagement de la communauté internationale pour financer son appel de fonds de 20,3 millions de dollars, le Niger ferait face à une seconde crise alimentaire qui toucherait en particulier les enfants.

Une récente évaluation de la sécurité alimentaire par le Programme alimentaire mondial (PAM) dans les régions les plus gravement affectées au Niger révèle la situation préoccupante d'une population pauvre, endettée et largement affectée par l'insécurité alimentaire.

Le PAM estime que 1,2 million de personnes n'ont de stocks de céréales suffisants que pour trois mois, tandis que 2 millions d'autres personnes n'ont de stocks suffisants que pour cinq mois. Et 2 millions d'autres auront une année difficile alors que les moyens de subsistance sont déjà précaires. "Même si les pluies s'avèrent suffisantes, si les criquets ne s'abattent pas sur le pays, que les récoltes sont bonnes et que les prix des céréales restent stables l'année prochaine, de nombreux Nigériens ont déjà pratiquement épuisé leurs ressources", alerte l'agence des Nations unies.

Le PAM fait observer que la malnutrition continue de peser le plus fortement sur les enfants. Avec l'UNICEF et l'organisation non gouvernementale Médecins sans frontières, près de 200000 enfants et leurs familles ont été traités et nourris dans 700 centres au Niger cette année. Le PAM aura besoin de 20,3 millions de dollars pour financer son opération d'urgence en cours jusqu'au mois de mars prochain, dont 8,3 millions immédiatement, sans quoi des pénuries sont à craindre dès le mois de décembre.

"Le Niger a malheureusement disparu de l'agenda international, ce qui pourrait avoir des conséquences désastreuses. Mais le Niger a besoin de plus que d'une "roue de secours". Il faut une assistance ciblée et soutenue pour lui permettre de sortir de la pauvreté et de la misère une fois pour toutes", a conclu le directeur du PAM au Niger, Gian Carlo Cirri. Le 5 août dernier, les Nations unies avaient réévalué à 81 millions de dollars les fonds nécessaires pour faire face à la crise alimentaire sévissant au Niger, alors que le précédent appel pour venir en aide à 3,6 millions de personnes touchées par la crise s'élevait à 16 millions de dollars.

La réponse tardive des donateurs aux appels des Nations unies pour remédier à la crise a eu pour conséquence d'aggraver la crise, entraînant une spectaculaire augmentation des coûts, avait estimé James Morris, directeur du PAM, le 3 août dernier.

[Source: UNICEF]

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OUGANDA: La peur d'être enlevés des enfants "migrants de la nuit" [nouvelle]

[LONDRES, 18 novembre 2005 ] - Deux jours avant la Journée universelle des enfants le 20 novembre, 30 000 enfants ougandais surnommés "les migrants de la nuit" se mettent silencieusement en marche dans l'obscurité chaque nuit, fuyant leurs maisons à la recherche d'un endroit relativement sûr pour dormir - en zone urbaine ou dans les camps les plus importants de personnes déplacées à l'intérieur de leur propre pays - ne retournant chez eux qu'au petit matin et répétant le même trajet à la nuit tombée.

Certains marchent pendant plusieurs kilomètres, sans la protection d'adultes de leur famille. Beaucoup finissent par dormir dans des églises, dans l'enceinte des hôpitaux ou dans des entrées de magasins. D'autres parviennent à gagner des centres gérés par des organisations non gouvernementales où ils bénéficient d'un endroit propre pour dormir, d'eau propre et de soins de base. Tous sont exposés en route à des risques de harcèlement, de violences physiques, d'exploitation sexuelle et de viol.

Ces enfants viennent de zones affectées par les combats, notamment Gulu, Pader et Kitgum, au nord de l'Ouganda, où la guerre fait rage depuis près de vingt ans. N'étant pas en sécurité dans leurs maisons ni dans leurs villages, ils prennent chaque nuit des risques pour tenter d'échapper au danger d'un enlèvement par les membres de l'opposition armée, la Lord's Resistance Army (LRA, Armée de résistance du Seigneur).

Vingt-cinq mille enfants employés comme soldats, esclaves sexuels ou porteurs ont été enlevés par la LRA depuis le début du conflit en 1986. Parmi ces enfants, 7 500 sont des filles ; un millier d'entre elles ont conçu des enfants durant leur captivité. On ne connaît pas le nombre d'enfants tués.

Le long conflit qui oppose depuis presque vingt ans la LRA et les Forces de défense populaire de l'Ouganda (UPDF, Uganda People's Defence Forces) s'est traduit par de graves violations des droits humains, tant par les agents de l'État que par des agents non gouvernementaux. Parmi ces violations, on peut citer le recrutement d'enfants soldats, les déplacements de population à grande échelle, les enlèvements, les attaques menées sans discrimination contre des civils, les viols et autres formes de violence sexuelle.

L'Ouganda a ratifié la Convention relative aux droits de l'enfant en 1990 et le Protocole facultatif à la Convention relative aux droits de l'enfant concernant l'implication d'enfants dans les conflits armés en 2002.

[Source: Amnesty International]

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EXPLOITATION SEXUELLE: Violence contre les enfants dans le cyberespace [rapport]

ECPAT International a récemment publié un rapport intitulé La Violence contre les enfants dans le cyberespace, qui constitue une contribution à l'Étude du Secrétaire général de l'Organisation des Nations Unies sur la violence contre les enfants. Ce rapport participe à l'évaluation générale de ce qui peut être fait pour arrêter la violence contre des enfants dans le contexte de l'Internet et des technologies de la communication.

La violence contre les enfants est un phénomène diffus qui ne connaît aucune frontière ni politique, ni culturelle, ni économique, ni technologique. L'avancement des technologies de l'information et des communications (TIC) au cours des dernières décennies a créé de nouvelles façons d'établir et de maintenir des relations. Il s'agit là d'une réalité journalière devenue très normale pour beaucoup d'enfants et de jeunes, et d'un potentiel fascinant pour les autres. Comme dans le monde physique, il importe d'établir un cadre basé à même les droits de l'enfant et les droits de l'homme afin de protéger les enfants dans le cyberespace.

"La Violence contre les enfants dans le cyberespace" offre de nouvelles informations quant à la profondeur et à l'ampleur de la violence et les préjudices potentiels faits aux enfants à travers les TIC. Depuis l'entrée en scène de l'Internet, l'attention a porté sur la réduction de l'écart numérique, et ce rapport met aujourd'hui l'emphase sur le besoin simultané de mesures de protection intégrées, particulièrement pour les enfants et les jeunes.

Alors qu'il est établi que l'impact de nouvelles technologies est à la fois positif et considérable, et que ces dernières vont inévitablement continuer à se développer, ce rapport aide également à expliquer - en particulier aux non-initiés - les pièges existant tout en présentant quelques suggestions sur ce qui peut être fait.

Divers média et nouvelles technologies sont discutés, mais ce rapport traite plus particulièrement de l'Internet et des téléphones portables ainsi que la convergence entre les deux. Le rôle important des média de masse en ce qui a trait à la formation des attitudes sociales et culturelles, et tout particulièrement celles des enfants et des jeunes (incluant les attitudes face à la violence sexuelle et aux enfants) constitue un thème central.

Le rapport met également au défi le stéréotype comme quoi les enfants sans accès direct aux nouvelles technologies ne sont pas concernés par l'influence de celles-ci. Même si l'exposition aux nouvelles TIC est très différente à travers le monde, le rapport explique que les enfants courent des risques peu importe si leur communauté est à l'avant-garde du changement technologique ou pas.

Les réponses des État à elles seules ne seront jamais suffisantes. Une approche rapprochant un plus grand nombre d'acteurs impliqués dans le domaine est reconnue comme étant essentielle au maintien du droit des enfants à avoir accès à l'information, mais aussi du droit à la protection contre l'agression. Une telle approche souligne le besoin des grandes sociétés, des gouvernements et de la société civile de prendre leurs responsabilités au sérieux.

Pour de plus amples renseignements, contacter:
Deborah Muir, ECPAT International
328 Phaya Thai Road, Bangkok 10400, Thailand
Tel: + 66 2 215 3388; Fax: + 66 2 215 8272
Email: [email protected] or [email protected]
Websites: http://www.ecpat.net

Lire le rapport 

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GUINEE: Etude sur le trafic et le travail domestique des enfants [rapport]

L'ONG Action Contre l'Exploitation de l'Enfant et de la Femme (ACEEF), membre de CRIN, a récemment conduit une étude sur le trafic et le travail domestique des enfants en Guinée. L'étude a été financée par Anti-Slavery International et le rapport final a été validé à Conakry, le 24 Novembre 2005 par différents acteurs sur les questions de l'Enfance en Guinée: le Ministère des Affaires Sociales et de l'Enfance, la Direction nationale du travail, la Direction nationale de l'Education civique, l'UNICEF, et plusieurs ONG.

Si le trafic des enfants n'est pas un phénomène nouveau dans le monde, son caractère occulte clandestin dans certains pays comme la Guinée rend difficile l'admission du concept par les autorités, et parfois même par certains intellectuels. En effet, selon certains témoignages dignes de foi, l'existence du trafic des enfants en Guinée a fait l'objet de discussions entre cadres guinéens, et ce, aussi bien à l'intérieur qu'à l'extérieur du pays.

La visée pratique de l'étude menée par ACEEF est, tout d'abord, d'examiner davantage, par des données irréfutables, l'existence et les risques d'aggravation et de propension du trafic des enfants en Guinée. L'étude cherche aussi à mettre en relief les conditions concrètes à l'origine de la transformation du travail domestique des enfants en situation de trafic, en même temps que leurs conditions de vie.

Pour de plus amples renseignements, contacter:
Adodo Essena Serge SOSSOU, Directeur Exécutif
Action Contre l'Exploitation de l'Enfant et de la Femme
Quartier Minière, Carréfour Chinois, Immeuble FOUAD
BP 264O, Conakry , République de Guinée
Tél: + 224 54 95 48

Lire le rapport 

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COMITE DES DROITS DE L'ENFANT: Journée de débat général [nouvelle]

Lors de sa 40ème session, du 12 au 30 septembre 2005, le Comité des droits de l'enfant a tenu une Journée de discussion générale sur les enfants sans protection parentale. Cette Journée de discussion générale a fait suite à la demande adressée l'an dernier par le Comité aux Nations Unies en vue de l'élaboration de directives pour la protection des enfants qui se retrouvent sans protection parentale. La Journée de débat général avait donc pour objet de recueillir toute contribution utile susceptible de faciliter l'élaboration de ces directives.

Les Recommandations du Comité, issues de la journée de débat général seront disponibles en français dans les prochains mois sur les sites internet du Haut-Commissariat des Nations Unies aux droits de l'homme et de CRIN. Pour lire les Recommandations en anglais, visiter: http://www.ohchr.org/english/bodies/crc/docs/discussion/recommendations2.... La Journée de débat général 2006 portera sur le thème "Le droit de l'enfant d'être entendu" et aura lieu le vendredi 15 septembre à Genève.

Les Recommandations (en français) des Journées de discussion générale précédentes ont récemment été postées sur le site de CRIN:

Journée de débat général 2003: Les droits des enfants autochtones 

Journée de débat général 2004: La Mise en oeuvre des droits de l'enfant au stade de la petite enfance

Informations sur le Comité des droits de l'enfant

Informations sur la Journée de débat général 2005  

Site internet du Haut-Commissariat des Nations Unies aux droits de l'Homme (en anglais)

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