Les violences dont parlent les adolescents ont eu lieu entre l’été 2013 et l’été 2015. Seules ont été retenues pour la plainte celles pour lesquelles des témoins pouvaient confirmer leurs dires. Une enquête préliminaire a été confiée à l’inspection générale de la police nationale (IGPN), la police des polices. La police n’a pour le moment pas souhaité réagir.
Un rapport, publié jeudi par des experts indépendants, accable la gestion par les Nations unies des accusations de viols d'enfants en Centrafrique par des soldats français, équato-guinéens et tchadiens.
Ce guide pratique de l'Organisation Internationale de la Francophonie vise à partager les pratiques positives en matière d’écoute et d’accompagnement des enfants victimes de violences.
L’Iran a confirmé sa première place sur la liste des pays mettant à mort le plus de condamnés qui étaient mineurs au moment des faits qu’on leur reproche, après que deux jeunes gens ont été condamnés une deuxième fois à la peine capitale dans deux affaires de ce type, a déclaré Amnesty International.
Ces dernières semaines, des attaques terroristes en Turquie, en Égypte, au Liban, en France, en Irak, au Mali et en Tunisie ont fait des centaines de morts, dont des dizaines d’enfants.
L'affaire a été révélée au printemps 2015 par le quotidien britannique The Guardian : des enfants centrafricains vivant sur le camp de M'poko à Bangui disent avoir été violés par des soldats français de la force Sangaris. Ces accusations ont entraîné l'ouverture d'une enquête judiciaire en France et ce mardi 8 décembre, quatre soldats sont entendus par la gendarmerie prévôtale. L'un d'eux a été placé en garde à vue, les trois autres sont entendus libres, avec l'assistance d'un avocat.