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Recommandations Acceptées et RejetéesLes recommandations suivantes ont été acceptées par le Burkina Faso :
98.1. Accéder à la Convention de l’Unesco 1960 contre la Discrimination dans le secteur de l’Education (Algérie).
4. Assurer que le statut de la commission nationale des droits de l’homme soit en conformité avec le Principe de Paris, pour garantir qu’il soit tout à fait opérationnel, comme recommandé par le Comité des Droits de l’Enfant (Luxembourg); considérer les structure et fonction de la commission nationale des Droits de l’Homme (Pays-Bas); assurer son indépendance, particulièrement en ajustant ses compétences et son financement (Belgique), en accord avec les Principes de Paris (Pays-Bas, Belgique).
11. Partager de bonnes pratiques avec les autres pays à l’égard des mutilations génitales féminines (Pays-Bas), poursuivre les efforts afin de continuer à avancer de façon exemplaire en ce qui concerne l’abolition effective de la mutilation sexuelle (Luxembourg) et poursuivre les efforts afin d’entièrement éradiquer cette pratique (Pays-Bas, Albanie, Brésil, Australie) ;
12. Poursuivre son initiative à combattre et mettre fin à la pratique de l’excision (Algérie).
13. Intensifier les efforts pour lutter contre l’exploitation sexuelle et le trafic de filles et de femmes (Malaisie) en passant par la mise en application d’une stratégie nationale pour combattre ce problème (Malaisie, Australie) ; intensifier les efforts pour mettre en application le plan d’action national afin de combattre le trafic, particulièrement en présentant devant la justice et en condamnant systématiquement les individus tenus pour responsables (Canada).
15. Mettre en application, de manière efficace, les instruments internationaux ratifiés qui se concentrent sur la protection de l’enfant et les droits des enfants (Italie) ; faire des efforts supplémentaires afin d’assurer que la priorité reste aux services sociaux offerts aux enfants, particulièrement les filles, les enfants handicapés et les enfants des campagnes, et assurer aux enfants une protection efficace contre les abus sexuels, toutes formes de violence et exploitation, trafic ou travail des enfants (Luxembourg) ;
16. Envisager des stratégies nationales de placements en familles d’accueil afin de combattre le travail des enfants et de promouvoir le travail décent (Brésil); développer et mettre en place des mesures et politiques de prévention et protection pour les victimes du travail des enfants (Slovénie) ;
17. Prendre toutes les mesures nécessaires afin d’assurer que l’emploi des enfants n’interfère pas avec leur droit à l’éducation (Royaume-Uni) ;
18. Continuer à renforcer les politiques éducatives (Angola), faire de plus grands efforts encore concernant le droit à l’éducation (Côte d’Ivoire) et, avec l’assistance de la communauté internationale, renforcer sa capacité humaine et institutionnelle dans l’éducation et la santé (Ghana) ;
19. Poursuivre ses efforts pour assurer la scolarité des filles et le retour à la scolarité des enfants qui ont abandonné l’école ou qui n’y sont jamais allés, avec le soutien des Nations Unies (Burundi), et continuer à faire progresser la campagne visant à atteindre une éducation fondamentale universelle, y compris au travers d’une d’éducation informelle, avec le soutien et la coopération de la communauté internationale (Bangladesh) ;
23. Poursuivre les efforts concernant les droits économiques, sociaux et culturels afin de consolider les avancements déjà établis (Cuba) ; améliorer la situation socio-économique avec l’appui de la communauté internationale (Mali) ; avec le soutien et la coopération de la communauté internationale, continuer à combattre la pauvreté, en s’assurant que les bénéfices sont accumulés par tous les citoyens et dans toutes les religions ; continuer à améliorer le système de santé et combattre les maladies mortelles telles que le VIH /Sida (Bangladesh) ; combattre la pauvreté et assurer le droit à l’éducation pour tous, avec le soutien de la communauté internationale (île Maurice) ;
27. Avec l’aide de la communauté internationale, augmenter les activités ayant pour but d’incorporer l’éducation aux droits de l’homme dans le curriculum officiel des écoles et renforcer la capacité des autorités nationales à promouvoir la jouissance des Droits de l’Homme (Ghana).
Le Burkina Faso n’a rejeté aucune recommandation.